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Dynamisme virevoltant et conduite mélodique soutenue, les atouts majeurs du travail de Torin Borrowdale depuis la première saison sont bien là. C’est donc toujours très agréable à déguster mais pour autant, à moins d’être un accroc de la série, on ne retient une fois encore presque rien de cette nouvelle (très courte) contribution.
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La musique de Borrowdale est toujours aussi enthousiasmante. Mystérieuse et enjouée, elle sait aussi s’énerver lorsque le scénario l’exige. Bref, on est dans la continuité des deux premières saisons. Avec tout ça, j’ai hâte de découvrir la série, mais aussi d’entendre le compositeur sur d’autres projets d’importance.
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Le thème est toujours aussi accrocheur et efficace, et l’ensemble dégage beaucoup d’énergie. Le résultat m’a pourtant paru impersonnel. Beaucoup de crescendos calqués sur une écriture à la RCP/Tyler. Les arrangements et le mixage « mastoc » amplifient l’aspect un brin « pré-composé » de la musique. Il manque un truc…
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Comme souvent dans les séries (et ailleurs), l’écriture est principalement motorique, chargée de percussions qui deviennent vite pénibles, plus l’interlude émotion. Sans connaître la série, j’ai accroché au début (où la recette magique est appliquée avec un certain talent), puis la répétitivité a eu raison de moi.
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Contrairement à la série que j’ai laissé pour l’instant tomber, c’est toujours aussi bien ! Pour cette ultime saison, Borrowdale garde le cap. La musique de cette adaptation des BD du fiston King est vraiment une belle réussite, avec des thèmes ludiques et réussis. On a l’impression d’une petite pépite des glorieuses 80’s. Bravo !
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