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Robuste illustration d’aventure pour chœur et orchestre dont le seul bémol à formuler tient dans le recours un peu facile (et guère justifié) au feeling africain de Lebo M. Difficile pourtant de bouder réellement la recette tant JNH offre de beaux morceaux de bravoure narrative. Cette nouvelle édition prolonge le plaisir de l’écoute isolée sans la révolutionner.
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Denver, le dernier… Hein ? Ça n’a rien à voir ? Ha oui… Le CD sorti en 2000 ayant déjà eu un effet euphorisant sur moi, je vous laisse imaginer le plaisir orgasmique que j’ai pris à l’écoute de cette édition plus longue. Très en forme, le compositeur nous régale tant dans l’action débridée que dans l’émotion. C’est une pépite issue des âges farouches !
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2000 : l’âge des dinos post Jurassic Park et post Lion King. Sous influence Zimmer (chants, percussions appuyées), mais aussi Goldsmith et un peu Williams (ouf !), JNH livre un score en rien fossilisé : du cinémascope mélodique et coloré, ici spectaculaire, là tendre et aéré, bien mieux écrit que son modèle obligé.
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JNH a ses détracteurs. Je n’en faisais pas partie jusqu’au milieu des années 2000. Ensuite, JNH abandonne son style mélodique et parfois très coloré pour se conformer aux souhaits orientés sound-design des producteurs. Dinosaur fait partie des excellentes musiques de JNH à qui on faisait encore pleinement confiance.
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Réédition et rallonge d’un des meilleurs scores de JNH dans sa chouette période Disney. Ici le rabe fait plaisir, avec des morceaux de bravoure en plus pour étoffer. Grâce à un score qui dépasse les 80 minutes, ils arrivent à nous refiler deux galettes en complétant avec des alternates. Je pourrais râler, mais même ça c’est bien !
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