Watership Down (Angela Morley)

UnderScorama • Publié le 15/08/2022 par

WATERSHIP DOWN (1978)
Compositeur : Angela Morley
Éditeur : Masterworks
Format : CD & Digital
Date de sortie : 29/07/2022

4.5 out of 5 stars
Florent Groult Il y a dans ce merveilleux album tout ce qu’on peut espérer en pareil récit initiatique, et en premier des climats orchestraux variés et ciselés qui évoquent tour à tour Prokofiev, Chostakovitch, Stravinsky ou encore, côté image, Mancini, Rosenman, Goldsmith ou même le premier Star Wars de Williams. En sus la chanson est une vraie petite pépite.
4.5 out of 5 stars
Franck Le Roux Certains disent : « La musique de dessin-animé, c’est pour les enfants. ». Je réponds juste : « Angela, mords-les ! » La compositrice a créé une ode champêtre et sombre. La vie d’un lapinou n’est pas toujours rose. Dommage que le programme ne s’étoffe jamais au fil des éditions. Je recommande aussi The Film & Television Music Of Angela Morley.
5 out of 5 stars
Milio Latimier Passé le prologue avec narrateur, la musique déploie un romantisme symphonique exalté qui semble s’inscrire dans la vogue orchestrale post-Star Wars. Richesse des orchestrations, narration expressive et émouvante. Si vous aimez John Williams, Bruce Broughton, John Scott, vous devriez être, comme moi, conquis.
4 out of 5 stars
Christophe Maniez Passé le Main Title plombé par une voix off qui empêche d’apprécier pleinement le travail d’orchestration de Morley, le reste de la partition relève tout simplement de l’orfèvrerie. On pense souvent à Vaughan Wiliams ou à Laurie Johnson. C’était au temps où la musique de film ne faisait pas que servir l’image…
5 out of 5 stars
David Lezeau Une œuvre fièrement classique et pastorale d’Angela Morley, venue en renfort de Malcolm Williamson (compositeur initial) et Mike Batt (qui signe les roucoulades d’Art Garfunkel). Malgré le prologue parlé, voilà un album modèle, concis et homogène, qui risque de vous rester en tête. Écoutez aussi son Captain Nemo & The Underwater City !
4 out of 5 stars
Christophe Olivo Après la nouvelle (chouette) mouture de Jusid, déjà chroniquée il y a quelques temps dans l’UnderScorama, voici la version de 78 de ce conte britannique. Passée la narration du début, c’est assez bluffant ! On a tantôt l’impression d’écouter une musique de space-opera, tantôt une belle ouverture de comédie musicale ! Savoureux.
4 out of 5 stars