|
Courte contribution (un peu moins de dix-neuf minutes) dont l’approche avenante, sorte de rétro-jazz propret et charmant, s’avère tout à fait plaisante à défaut d’être renversante pour illustrer la biographie de la désormais vénérable Joan Collins (ou pour apprécier un bon brandy après une rude journée de travail, à vous de voir).
|
|
Ce court score prouve que ce n’est pas la taille qui compte ! Lindsay Wright, qui a débuté auprès de compositeurs comme Martin Phipps et Isobel Waller-Bridge, illustre ce documentaire dans un esprit jazzy et swinging London. La thématique et l’ambiance sont hyper accrocheuses. J’ai hâte de découvrir ses futurs projets !
|
|
Daniel Pemberton fait des émules. Chouette partition jazzy-orchestral-électro nostalgique, très portée sur les percussions jazzy, le thème frivole n’est jamais loin grâce au pupitre des cuivres. Ludique et teinté d’ironie (par les cordes), ce tout petit album (18 minutes !) est une friandise goûtue.
|
|
Pour ce doc sur la vie de Joan Collins, la compositrice anglaise fait appel à un mélange raffiné de mélodies sucrées ou enlevées, façon jazz rétro. On se croirait parfois dans un James Bond des années 60. Le thème est décliné sous diverses formes (rumba, jazz sixties) avec un son un peu pop qui n’est pas déplaisant du tout.
|
|
Loin d’un commentaire dramatisant, il s’agit de pièces d’accompagnement tout en swing, sous forme de variations chaloupant des hanches à l’égal de leur inspiratrice, comme Schifrin ou Barry ont pu en produire en leur temps – toutes proportions gardées, mais c’est vif, plaisant, et pas seulement pour l’apéro.
|
|
Très courte partition pour un docu télé consacré à la diva Hollywoodienne. Et malgré cette durée restreinte et deux ou trois thèmes écoutables, je n’ai pas accroché.
|