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Entre facéties plus ou moins lourdingues et contexte seventies (un de plus, une vraie manie ces derniers temps) aux allusions au mieux très convenues et, pour tout dire, assez mal digérées dans l’ensemble, le toujours si peu inspiré Pereira commet une nouvelle fois une mécanique bruyante terriblement faiblarde. Du travail de tâcheron.
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Pour son cinquième épisode de la saga Gru/Minions, Pereira reste dans la continuité musicale, avec une ambiance plus 70’s. Ceux qui n’aiment pas Pereira continueront à ne pas aimer. Si je suis assez client, je reconnais les limites du score : générique, foutraque et parfois cheap. Le gars devrait être de la fête pour le Despicable Me 4 en 2024.
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Jamais été super fan des musiques du Pereira, un peu simplistes à mon goût malgré la jovialité et la variété instrumentale. Très bonne surprise ici, avec un thème principal réussi et du kung-funky entraînant. Les arrangements sont plus étoffés que d’ordinaire (même s’il y a toujours des lacunes).
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N’ayant jusqu’ici absolument rien retenu du travail du guitariste fou de la team RCP, la surprise fut donc ici agréable. Ne vous méprenez cependant pas, ça reste un travail assez GRUssier, mais il y a cette fois une vitalité orchestrale dopée par des clins d’œil seventies funky (le film en regorge) assez mignons.
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Bond 32 : Seventies Never Die ? Mission: Impossible Year 73, réalisé par Brian De Banana ? Non, mais Pereira fait comme si. Qui l’eut Gru ? Ça dépote sérieux, jusqu’à l’étouffement en ce qui me concerne, et l’intérêt baisse quand les riffs de nos années criardes ne sont plus convoqués. Mais quand c’est le cas, c’est bon !
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Revoilà le compositeur brésilien de Remote Control sur la saga des minions. C’est carré et bien fait, de la musique de divertissement fun pour enfants, qui fonctionne parfaitement sur les images. Pereira est devenu un spécialiste du genre. Pas ma tasse de thé, même si la chanson finale est très drôle.
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