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On n’a que trop peu l’occasion d’évoquer ici cet autre Williams, artisan consciencieux sans folle inventivité mais qui sait façonner le matériau orchestral avec grand soin et dont la quasi-totalité des travaux valent l’attention. Ample, mélodique, exotique, il nous emmène en Chine et le voyage, typiquement old school hollywoodien, est très satisfaisant.
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Alan Williams est une valeur sûre, ses travaux pour les documentaires lui ayant permis de composer de superbes scores. L’homme est doué et ses partitions nous le rappellent à chaque écoute. Pour ce film chinois, il offre une musique somptueuse, pour grand orchestre et instruments traditionnels chinois, fleurant bon la grande aventure humaine.
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Wouah, je ne connais Alan Williams que de nom, et quelle claque !!! Difficile à l’écoute de me dire que c’est une partition récente tant elle me rappelle les grandes heures du symphonisme hollywoodien mâtiné de world music des années 90, façon Poledouris, Horner, Trevor Jones, JNH… Inutile d’en dire plus ?
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On est d’accord, Alan c’est pas John. Mais il serait dommage de passer à côté de sa musique, souvent orchestrale, ample et généreuse, pour une bête raison de prénom. C’est aussi le cas pour ce score dramatique et intense mâtiné d’instruments ethniques chinois, traversé d’une tragique mélancolie et d’accès de rage salvateurs.
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Sans montrer le caractère d’Alan S. ou J. Williams, Alan Williams investit le large espace permis par le film, charmeur à l’égal de la flûte qui incarne pour une part la tonalité asiatique du sujet. C’est mélodieux, spectaculaire mais pas bourrin, il suffirait d’un rien d’original pour marquer véritablement.
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J’ai d’abord cru à un documentaire, mais après vérification, c’est bien un film chinois, de guerre et d’aventure. Avec un compositeur américain, qui fait une musique aux accents chinois, logique. Pas désagréable, mais aucun thème ne m’a vraiment fait dresser l’oreille.
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