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Euh, comment dire… C’est absolument, complètement, totalement super mochi-moche (© 2015 Brylak) : des vignettes éléctrorchestrales sautillantes inécoutables, indignes mêmes d’Angry Birds (c’est dire, vu le film). Heitor Pereira devrait prendre de très longues vacances, ça nous en ferait aussi du coup, ce serait toujours ça de gagné.
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Un mickey-mousing plutôt bien mené dans la forme mais assez basique sur le fond, très balisé et multipliant les mini-interventions, avec chœur, synthés, guitares électriques, etc… Il y avait matière à être carrément iconoclaste sur cette franchise, mais le tout ne suscite qu’un (dés)intérêt poli.
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Bon, c’est frais, c’est sautillant, ça vole à droite, ça vole à gauche. Pour certains ronchons, le compositeur fait peut-être un travail de cochon, mais pour moi, c’est une petite friandise. On a évidemment affaire à de nombreuses vignettes musicales, loin de longs morceaux qui se développent lentement. M’en fous, j’aime !
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Comment dire ? Malgré l’énergie déployée par Pereira, la musique est tellement générique et interchangeable avec n’importe quel autre film d’animation du bonhomme que le résultat est plus fatigant qu’autre chose. N’est pas Powell qui veut. Même les suites de fin d’album présentant les nouveaux thèmes procurent de l’ennui tant ceux-ci sont insipides.
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