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Proposer une densité et une dynamique propre à chaque morceau tout en témoignant d’un sincère respect du matériau d’origine : à ce petit jeu, le musicien trouve dans ses réarrangements des équilibres parfois fort singuliers mais tout à fait attrayants pour qui sait apprécier l’exercice. La sélection est quant à elle à la fois exigeante et éclectique.
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Audacieuse relecture du répertoire de Goldsmith, avec une forte sensibilité jazz, au sens large. Mais Bernard ne se limite pas aux scores de Goldsmith s’inspirant du genre, et va chercher des titres plus antinomiques comme Total Recall ou First Blood ! Et c’est parfois orchestré avec un mauvais goût réjouissant (The Wild Rovers !)
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Après avoir revisité avec talent la musique de Schifrin en 2017, JMB s’attaque à l’univers de Goldsmith. Les musiciens se réapproprient ses thèmes bien connus avec une belle gourmandise. Le plaisir étant communicatif, on ne peut que taper du pied en rythme. L’album est recommandé aux fans de jazz et de Goldsmith… et à tous les autres.
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J’adore le concept et le style (un brin schifrinesque) des arrangements, permettant un rafraîchissement des mélodies à l’oreille des habitués. Si le choix de certains thèmes coule de source (Russia House), d’autres surprennent (Total Recall). Et les chansons sont superbes (Flying Dreams). Garçon, un volume deux !
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On sent à chaque extrait toute l’admiration que Jean-Michel Bernard porte à Goldsmith. Et pourtant il ne fait pas dans la facilité dans le choix des thèmes ! Il prend simplement les mélodies qu’il aime, c’est flagrant. Qu’on apprécie ou pas la démarche, impossible de mettre en doute la sincérité de ce projet. J’aime beaucoup les chansons.
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