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Très difficile de s’enthousiasmer pour cette musique très professionnelle, et pour la même raison, très difficile de lui reprocher son manque de personnalité. Tout ce à quoi on s’attend, musicalement, d’un film d’aventure / action / science-fiction familial d’aujourd’hui, est bien là.
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Autant le film est pantouflard et passe-partout, autant la musique de Beck est fun et addictive. Si le score est orchestral, les sons électro, pensés pour faire ressortir l’aspect jeu vidéo, sont vraiment bien amenés. Le mélange des deux mondes fonctionne vraiment bien. Une bien belle surprise pour une partition charmante et ludique.
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Divertissant et frustrant à la fois ! L’aspect technique est très léché (score d’action orchestral avec sons électro) mais l’absence de thèmes et d’idée sonore mémorables (voire de sonorités issues de jeux vidéo ?) renforce malheureusement l’impression d’anonymat musical.
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J’aurai voulu défendre ce score, bec et ongles, parce que j’aime bien ce compositeur. Mais, ici, il faut attendre plus de la moitié de la partition pour qu’on dresse un peu l’oreille tant son travail semble transparent, presque anecdotique, et on ressort de l’écoute sans avoir rien retenu, ou si peu.
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Il ne fait pas toujours dans la finesse le Totof, mais il commence à se forger un sacré palmarès. Free Guy oscille entre sérieux imperturbable, premier degré et fun assumé, sans cacher ses références. Un peu à l’instar du très bon WandaVision. Très ludique et amusant, sans oublier une touche de tendresse. C’est bien Totof !
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