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A l’image du film, la marche est haute, entre le Ghostbusters d’Elmer Bernstein et sa suite. Et les jambes de Randy sont petites …
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Edelman n’est pas Bernstein, ça s’est certain. La comparaison entre les deux scores est donc vaine. Ici, le compositeur rend un travail plutôt soigné, varié et agréable, même si ses foutus synthés, qui font aujourd’hui très cheap, pourrissent le travail de l’orchestre. Passé la semi déception, ça s’écoute plutôt bien : pour du Edelman, c’est déjà beaucoup.
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On est loin de Bernstein ! Ceci dit, apprécié seul, le travail d’Edelman est agréable (l’un de ses meilleurs selon moi). Le ton est léger, divertissant et les motifs et thèmes nombreux (chouette thème héroïque). Certaines pistes jazzy ont été spécialement arrangées pour l’album. Un revenant musical amical.
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Bien aidé, sur les morceaux orchestraux, par l’excellent et sous-estimé Greig McRitchie, Edelman délivre un score basique et pataud, où l’orchestre est parfois recouvert d’une épaisse couche de synthés aussi datés que moches. Reste un faux blues-ragtime au piano de belle tenue et une poignée de morceaux sympathiques. C’est peu.
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Pour de l’édition tardive… La B.O. que l’on n’attendait plus ! C’est dans la veine des bons boulots d’Edelman – oui, il y en a eu quelques-uns – avec des idées mélodiques sympathiques et quelques extraits bien pêchus. Mais aussi des trucs un peu ringards. Finalement so eighties !
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