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Un petit score fonctionnel qui ne s’aventure jamais en terrain inconnu, mais reste plutôt constamment à hauteur de troll. Beck fait pourtant correctement le job avec un thème héroïque et quelques morceaux d’action entrainants, mais la courte durée de la sélection et la conclusion particulièrement abrupte laissent par trop l’auditeur sur sa faim.
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Ne bénéficiant à l’image que de très peu d’espace pour s’exprimer, Christophe Beck se contente donc de remplir les vides (28 minutes environ sur disque) entre les chansons, avec de petites cavalcades et des bons sentiments orchestraux sans grand intérêt tant on sait qu’il est capable de faire bien mieux que cela.
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Je me suis complètement laissé prendre au jeu. J’ai dix ans et je vous embête. Beck (non, l’autre) a laissé s’exprimer l’enfant qui est en lui pour y puiser son inspiration composant des thèmes et mélodies toujours justes. Le coté parfois RCP ou convenu est là. Mais on s’en moque. M’enfin, allez quoi, un peu d’innocence, ça fait du bien, non ?
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Ah ! Frustrant, cet album. Beck fourni un travail étonnement ciselé ici, où l’aventure et l’émotion sont sur le devant de la scène. Rien d’osé ou de fou, c’est de l’orchestral très académique, à la manière d’un Debney, mais on suit l’histoire musicale avec plaisir… La fin soudaine, laisse cependant une décevante impression d’inachevé.
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De cette petite trentaine de minutes de score, on retiendra un thème un peu poussif. Mais Beck a du talent, il sait mettre de l’énergie dans l’orchestre au bon moment. Pas ultra-mémorable, pas de quoi s’en relever la nuit non plus, mais c’est tout de même agréable d’entendre une musique 100% orchestrale.
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