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Il arrive régulièrement que la parution d’une partition inédite soit au fond totalement dénuée d’un quelconque intérêt voire carrément futile : c’est le cas ici avec les 27 toutes petites minutes de cette insignifiante mousse légère pour guitares, textures synthétiques et petit ensemble à cordes. En bonus d’un dessert plus conséquent, d’accord, mais là…
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Excellent score pop-rock de Powell qui s’adonne avec une joie communicative à son penchant pour les percussions les plus diverses, avec l’énergie virevoltante qu’on lui connaît. Voilà le parfait antidote à l’angoisse ambiante, une barre de pures vitamines musicales.
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Un score mineur par son ampleur et sa durée mais avec toutes ces petites étincelles dont est capable son auteur, qui se plaît à mêler comédie et action dans un ensemble à la fois dé-guindé et cohérent. Sympathique et pas cher !
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Sympatoche… sans plus ! Le truc que l’on n’écoute qu’une fois, sans jamais y revenir. Heureusement que le compositeur a fait bien plus intéressant, avant et après cette B.O. oubliable. Devait-on réellement sortir ça en CD (de 27 minutes en plus !), alors même que les titres d’Anne-Kathrin Dern sont cantonnés au digital ? Rageant…
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Dieu sait que j’aime Powell et que, souvent, je le défends. Mais là, je ne peux pas. Je ne peux même pas comprendre le label qui édite ce machin vaguement hype et branchouille. La musique n’a pas d’autre but que de « supporter » la narration. Et mes forces ont été mises à rude épreuve, considérant ma nature biberonnée au symphonique….
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Très courte partition pour une rom-com oubliée des années 90. Quelques idées mélodiques, notamment au niveau de la voix, qui laisse poindre le beau potentiel de Powell. Mais c’est bien tout. Anecdotique.
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