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L’amateur de friandise orchestrale sera sans doute comblé à condition de passer sur les influences manifestes (John Powell en tête mais aussi Williams ou Giacchino), toutes parfaitement assimilées : on dirait du Debney des années 90 ! Des prédispositions, sans aucun doute, mais pour l’inspiration par contre, on repassera… une fois encore.
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Super héroïsme symphonique conventionnel de mise pour ce film d’animation. De loin en loin, j’ai senti comme une influence de Powell. Un petit score classique au meilleur sens du terme, avec ses fanfares, ses marches enthousiastes, ses victoires ponctuées de cuivres.
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Sans jamais s’éloigner de ses aînés (elle leur colle encore carrément aux basques même, Williams en tête), Miss Dern fait tranquillement sa petite bonne femme de chemin dans le revival du score orchestral. Si elle voulait postuler pour un Superman ou un Star Wars, elle ne s’y serait pas prise autrement.
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Qui a peur des monstres ? Pas moi en tout cas, surtout s’ils sont mis en musique par Anne-Kathrin. Ce Fearless fait partie de ses scores sous perfusion, qui me procurent un énorme plaisir (plaisir, pas orgasme ! Merci.) Damned ! Je crois que je suis tombé musicalement amoureux. Si ses B.O. sortaient en CD, elles trôneraient chez moi. Hélas…
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Quand Williams et Silvestri rencontrent Zimmer. C’est certes dérivatif, mais aussi amusant et assez thématique (facile de reconnaitre le temp track, vous mettrez souvent le doigt sur Pirates des Caraibes, et les petites impulsions cuivrées des derniers Star Wars). Pas le rebelote de son Jade Pendant mais je mets quand même un 10 de Dern.
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Encore un anime Netflix. La B.O. est signée d’une jeune compositrice de l’écurie HZ, mais le style va plutôt chercher vers le How To Train Your Dragon de Powell et le space opera, et ce n’est pas plus mal ! Gros orchestre, chœurs, action et aventure, c’est classique mais bien foutu.
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