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A l’image de McCreary, Pemberton est de ceux qui savent dégotter les projets où ils vont s’amuser comme des petits fous. Avec sa synthwave, ses rythmiques-bruitages et son thème entraînant et accrocheur aux variations savoureuses, l’approche s’avère une fois encore à la fois intelligente, adéquate et ludique. Que demander de plus ?
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On sait maintenant à quel point Pemberton est doué pour aligner les pastilles musicales dans des genres très codés, déployant une énergie exponentielle est jouant de contre-pieds successifs et systématiques. Très 80’s – il est question de gamins sur BMX dans le jeu – l’ensemble est ébouriffant, maboul, addictif.
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Pour un jeu vidéo qui a l’air bien barré, Dany a opté pour une musique aussi barrée. Trop pour moi, hélas. Je trouve même certains morceaux carrément insupportables. Ça me fait penser à des scores de jeux des années 90, ce qui est évidemment voulu. Allez, j’enfourche ma bicyclette et je fonce jusqu’à la chronique suivante. Dring dring…
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Comme souvent chez Pemberton, ça fourmille d’idées et de sonorités électro-bizarroïdes. Et surtout, c’est fun et rock’n roll. Bon, thématiquement, cette fois, j’ai trouvé que c’était un peu pauvre. Dommage pour un jeu vidéo car on a souvent bien besoin de ça dans ce média…
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