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On le sait, Pemberton a toujours des idées à la pelle, et ce n’est bien sûr pas ce qui fait défaut ici. Mais il faut bien avouer que certains éléments constitutifs de ce melting-pot musical (la techno et le hip-hop, entre autres) font pour moi de l’expérience un parcours du combattant propre à me faire renoncer avant d’arriver au bout de ces 82 minutes.
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Condensé d’énergie mêlant développements orchestraux, sonorités électro et rythmes hip hop, thèmes héroïques et motifs agressifs : Pemberton ne réinvente évidemment rien mais joue sur bien des tableaux et les agrège avec un enthousiasme et une aisance qui font une fois encore sacrément plaisir à entendre. Excitant !
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En gros, 44 pastilles de 2 minutes qui nous trimballent dans tout le Spider-Verse aux basques de Pemberton : presque autant d’ambiances, et une grosse préférence pour les moments techno-azymutés bien groovy comme Dan les aime. Vraiment timbré et assez virtuose.
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Spidey en a vu passer des compositeurs, et pas que des manchots. Pemberton se balade dans le multiverse avec une force d’adaptation bluffante, passant du spectaculaire à l’humour dans un multi-style musical agréablement foutraque et constamment inventif. Pemberton semble inarrêtable.
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Inattendue, incroyablement inventive, bourrée d’idées jusqu’à la gueule, une musique qui donne carrément envie de voir un film que je n’avais pas l’intention de voir (j’avais lâché Spider-Man après Raimi). Good job Daniel !
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