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Décor exclusivement urbain oblige, c’est l’électro qui se taille la part du lion de ce très long album : certains passages sont vraiment réussis, d’autres sont plus anecdotiques. Heureusement, les reprises de standards du rock sont toujours au programme, avec des arrangements épurés mais séduisants (c’est vraiment Ramin qui les fait ?).
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L’album est beaucoup trop long et dilue les plages accrocheuses. Dommage… même si le procédé commence à s’user, les reprises réorchestrées par Djawadi surprennent toujours, et ça et là, un morceau soigné retient et charme l’oreille, ma préférence allant toujours, chez le compositeur, aux ambiances posées plutôt qu’à l’action bruyante.
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L’effet de surprise du volume 1 s’étiole au fil des albums. Ramin utilise les mêmes recettes (comme le Jawa sur Tatooine, le Djawadi recycle), en ajoutant trop de nappes d’ambiance et d’électro. La mécanique est bien huilée et les adaptations de chansons fonctionnent souvent tout aussi bien. Un double CD aurait amplement suffit pour les 3 saisons.
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Que quelqu’un arrête ce bruit !
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Revoilà l’ami Ramin et ses adaptations fantaisistes de standards de la pop. Je dois avouer que je suis assez fan. Et que j’ai eu un peu peur au début, ça se traîne un tantinet… Heureusement le compositeur repart sur ses expérimentations, donc ça me va. Pas encore vu cette saison 3.
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