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Sur une base de jazz big band, Mothersbaugh déroule clavecin, bois délicats, violon solo facétieux, guitare hawaïenne, synthés très 8-bits et toutes les ressources d’un orchestre qu’il maitrise à la perfection. Des péripéties musicales colorées et passionnantes qui vous feront traverser avec humour, entrain et émotion les aventures des Willoughbys.
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Pas mal de facéties en tout genre rehaussées d’une pointe d’émotion qui forment un ensemble réjouissant : pastiches swing type big band des 50’s, gags vocaux, mickey-mousing mesuré, beaux élans orchestraux… Difficile de tout lister mais c’est sans aucun doute ce genre de jazz baroque avec clavecin qui forme l’idée la plus savoureuse.
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Mothersbaugh roule toujours un peu des mécaniques pour montrer sa capacité à écrire dans tous les genres et registres et avec toutes les techniques, mais c’est entraînant et tenu. Un tour de montagnes russes aux couleurs très 50/60’s – cuivres, cymbalum, claquements de doigts, big band – tout y passe à la vitesse de l’éclair, mais le plaisir reste.
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Ce bon Mark Mothersbaugh connaît son affaire en ce qui concerne la musique d’animation et de comédie. C’est donc évidemment avec talent et professionnalisme qu’il illustre ce nouveau film d’animation. Il jazzifie parfois son score, déjà très bon, ce qui s’accorde parfaitement avec l’univers graphique du film. Bref, je suis comblé.
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Avec ce gentil score de comédie pour film à destination du jeune public, l’ancien co-fondateur du groupe Devo arrive à faire sourire et à divertir. C’est pas mal. Mais c’est aussi un peu creux et vain.
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À l’image du film, fun, varié, amusant, bondissant, inventif. Le compositeur s’éclate visiblement à illustrer cet univers coloré. Les extraits sont courts mais ça swingue et la musique accompagne les personnages attachants de ce film d’animation.
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