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C’est par une série de superbes crescendos électro-orchestraux, intenses et millimétrés, que le duo tisse le lien musical qui unit les huit protagonistes de cette tout aussi superbe série des Wachowski. Les quelques chansons, à l’image parfaitement intégrées à la narration, fonctionnent aussi très bien sur album. Beau boulot, et vivement la suite !
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Fruit d’un travail amorcé très en amont du tournage, cet album présente des musiques progressives souvent dynamiques pour un canevas général électro-orchestral du plus bel effet et qui se densifie piste après piste. On pense parfois au lointain Lola Rennt, mais en plus sophistiqué. Franchement emballant ! Plusieurs chansons s’y insèrent très bien.
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Les Wachos continuent leur compagnonnage avec Tykwer et Klimek, sans surprise dans le droit fil de Cloud Atlas. Une musique emphatique, qui accepte sans rougir les conventions de son époque : ostinati, crescendo, constructions répétitives, écriture mélodique mais peu thématique. Mais la volonté d’émouvoir fait mouche.
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Très belle surprise mêlant une combinaison symphonique/électro bien pensée. Tykwer et Klimek dressent un labyrinthe musical aux figures répétitives dans lequel on se perd avec un plaisir hypnotique. Les chansons apportent des pauses vocales bienvenues. On a un peu l’impression de revenir aux années post-Matrix.
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Comme souvent chez le duo allemand, il y a quelque chose d’indéfinissable qui me séduit. Là, on est plutôt loin de Perfume, mais l’hybridation orchestre-électronique est parfois bluffante. Certains morceaux, qui prennent le temps de se développer, sont même assez galvanisants. Si toutes les musiques de série pouvaient être de cette trempe !
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