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Une partition gavée d’ostinati de cordes, de chœurs massifs, de cuivres grondants et de percussions assourdissantes, ou surnagent pourtant quelques pièces plus aérées. Mais à vouloir en faire toujours plus, le duo en fait trop, et on finit par frôler la saturation. |
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Inspiration en berne pour le duo Klimek/Heil qui ne parvient qu’à cuisiner une sombre mélasse orchestrale sans goût ni relief. |
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On a l’impression d’écouter une compilation de musiques de bandes-annonce, mais il y a ici un entrain, une générosité, une lourdeur maladroite mais roborative dans ce grand fourre-tout. Une sorte d’équivalent discographique du Van Helsing de Stephen Sommers… |
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Le Frankie du 21ème siècle, c’est du post gothique moderne ou chais pas quoi… Plus ça envoie et plus c’est laid. Et ça envoie. |
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Même si les deux compositeurs associés au projet sont loin d’être des manchots, on sent que le matériau ne les a pas inspiré le moins du monde, et on se retrouve avec un amalgame informe de notes rapiécées n’importe comment. |
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Moi qui avais cru bien naïvement à une réédition du sublime Bride Of Frankenstein, me voilà fort marri devant ce score pataud, dont les gros sabots n’ont rien à envier aux fameuses grolles carrées de Boris Karloff. |