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Un court générique, bourrin et passe-partout, pour Zimmer, et quinze petites minutes de papier peint agréable pour Balfe, qui s’en sort cependant mieux que son mentor. Une chose est sûre : le génie n’est pas partagé équitablement, et ce principe vaut aussi en musique de film (ou de télévision, en l’occurrence), en particulier chez RCP.
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Un thème principal aussi efficace que court, signé Hans, et un underscore aux cellules répétitives, sans réel éclat et aux finitions un peu brutes, mais néanmoins assez honnêtement mené par son comparse Lorne Balfe.
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Un point pour le thème de Zimmer que je trouve pour une fois pas inintéressant, voire carrément plaisant. Plus un point pour l’ensemble pas inécoutable de Balfe. Par contre, on pourrait être dans Desperate Housewives ou dans n’importe quoi d’autre, donc un truc super oubliable.
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Attention, mini-album ! Quinze minutes de musique originale et deux de solos de violon (Bach et Mozart). Le générique écrasant de Zimmer est aussi pompeux qu’efficace. Le travail de Balfe, mêlant cordes, piano, harpe et beaucoup d’électronique (aux accents rétro) s’avère agréable, bien que sous l’influence de Thomas Newman ou Interstellar.
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La série centrée sur Albert Einstein n’a peut-être pas beaucoup besoin de musique mais quinze minutes de score (dont le thème, à peine une minute, de Zimmer et le reste par Balfe), même pour un EP, ça fait peu. Le tout est assez synthétique, peu thématique. Bref, pas génial (je sais, elle est facile…) !
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