|
Même si on se demande d’abord comment Rob Simonsen s’est retrouvé sur un tel projet, il faut admettre qu’il y a de jolies choses dans cette partition intimiste, avec l’entrainant montage de Eight Years Without Her en tête de liste. Mais l’essentiel du score se positionne trop en retrait pour qu’il en reste grand-chose une fois l’écoute achevée.
|
|
Passons les chansons de l’album qui n’ont pas grand intérêt pour nous occuper plutôt du score composé par Simonsen. Et méditons sur cet exemple assez incroyable de sous-exploitation d’un compositeur. Rien qui ne dépasse, tout est générique, avec son piano entendu mille fois ailleurs, je suis déception.
|
|
Du piano, de la tendresse, toussa. C’est joli, ça fait le job, mais c’est court et bien oubliable.
|
|
20 minutes de musique originale dans un style qui ressemble à un mélange entre les films indés US et les drames français. Un piano sensible, des cordes claires, une guitare, des nappes… Plusieurs pistes possèdent un élan dramatique indéniablement touchant, mais on peine à s’attacher vraiment, la faute à des mélodies sans éclat particulier.
|
|
Que peut-on retenir de ces vingt minutes de partition originale ? Un thème, parfois présenté sous la forme d’une valse déguisée, un piano aux accords nostalgiques, des cordes alternativement rythmiques ou diaphanes, une guitare acoustique… Bref, une jolie musique, mais un peu passe-partout.
|