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Un score à petit budget, ce qui n’a en aucune façon limité Jack Nitszche : le compositeur en profite pour expérimenter avec quelques instruments inhabituels (harmonica de verre, cithare, violon électrique…) et certaines sonorités de mariachi music. Un peu long et répétitif, l’album s’écoute cependant avec intérêt. Une découverte appréciable, donc.
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Avec une utilisation toujours très juste et savante des instruments originaux qu’il insère tout au long du score, Nitzsche dépeint une atmosphère très particulière qui donne naissance à des pistes étonnantes, notamment lors de l’utilisation de l’orchestre mariachi mixé comme dans un rêve. Complètement barré et indispensable.
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Par sa nonchalance et son instrumentation particulière, le récit mené par Nitzsche amène l’auditeur vers une espèce de mélancolie résignée, portant sur le drame un regard volontairement distancié comme pour souligner la folie du monde. Intéressant.
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Surprenante partition principalement basée sur les sonorités inhabituelles d’harmonica de verre, cithare et de cordes électriques accompagnées de guitares hispanisantes. L’atmosphère étrange est contrebalancée par des mélodies nettement dessinées. On pourra regretter un aspect un peu uniforme et l’on aurait aimé plus d’envolées.
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Jack Nitszche avait une voix assez unique, surtout lorsque le budget musique d’un film était fort limité. Il le prouve ici par le biais d’une instrumentation originale (harmonica de verre, cithare, cordes synthétiques…) et d’un thème obsédant. L’atmosphère mexicaine du film est également bien retranscrite avec quelques clins d’œil mariachiesques.
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