Planetarium / Belle Épine / Grand Central (Rob)

UnderScorama • Publié le 15/12/2016 par

Planetarium / Belle Épine / Grand CentralPLANETARIUM / BELLE ÉPINE / GRAND CENTRAL (2016 / 2010 / 2013)
Compositeur : Rob (Robin Coudert)
Éditeur : Music Box Records
Format : 2CD
Date de sortie : 10/11/2016

4 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Planétarium évoque un François de Roubaix qui aurait fusionné ses expérimentations sonores à une élégante partition pour orchestre, Belle Épine louche habilement du côté de Goblin et Grand Central rappelle la sécheresse inventive de certains Morricone. Des références bien sûr parfaitement digérées, et le résultat est superbe de bout en bout.
4 out of 5 stars
Florent Groult Ces compositions pour le cinéma de Rebecca Zlotowski se détachent nettement de l’esthétique électro plutôt frontale qu’on accole d’ordinaire à Rob : elles se font ici plus insidieuses mais, grâce notamment à des choix instrumentaux singuliers, n’en demeurent pas moins tout aussi accrocheuses.
4 out of 5 stars
Baptiste Brylak Rob utilise toute sa panoplie du petit chimiste de la musique à l’image. Que ce soit les plus classiques Planetarium et Grand Central ou le très « Goblin-like » Belle Épine, une surprise nous attend au détour de pratiquement chaque piste et tout est un travail de passionné. M’enfin c’est du boulot de malade et une preuve définitive du talent de Rob.
4 out of 5 stars
Sébastien Faelens J’avoue ne pas savoir sur quel pied danser après l’écoute de cet objet curieux. Les trois partitions présentes sur ce double album ne sont pas celles auxquelles on penserait spontanément pour faire découvrir Rob. Paradoxalement, ils démontrent le talent ou l’ouverture du bonhomme et rien que pour ça, ils méritent amplement d’être découverts.
3.5 out of 5 stars
Milio Latimier Le choix très précis (et économe) de timbres et de couleurs instrumentales retient toute l’attention sur Planetarium. Les contours inattendus des mélodies ajoutent au pouvoir évocateur. Belle Épine est plus rythmé, avec de l’électro-prog-rock minimaliste divertissant. Plus intimiste et dramatique, Grand Central révèle un joli charme exotique.
3.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Pour ces trois films, Rob a composé des musiques aux tonalités bien différentes. Planetarium, avec ses cordes empruntées à Nyman, sait se faire élégant. Belle Épine, résolument plus rock dans l’esprit, étonne par son côté John Carpenter assumé. Grand Central surprend par ses orchestrations plus sèches. Un disque inégal mais intéressant.
3.5 out of 5 stars