|
Dès l’introduction, on retrouve en filigrane cet ADN musical de John Carpenter que Rob a si parfaitement assimilé depuis ses débuts dans la composition pour le grand écran. Malheureusement, la suite dévie rapidement vers le sound design et des boucles ultra-répétitives assez désagréables qui ne présentent qu’un intérêt très limité. Dommage.
|
|
De l’électro âpre, comme on peut a priori s’y attendre, mais qui évolue peu et peine de fait à s’imposer réellement comme une force agissante. L’approche n’aurait-elle pas gagné à être plus radicalement obsédante ? En l’état le résultat paraît un peu tiède et c’est un peu dommage…
|
|
Ils rêvent tous de le signer, le score eighties qui serait l’enfant génial des nuits humides de Moroder et Carpenter. Et du haut de sa montagne, assis sur son trône, Rob les regarde et rit.
|
|
Partition électronique rauque et âpre, ce film de « rape & revenge » dans un décor désertique n’engendre évidemment pas une musique douce. Basses grésillantes et nauséeuses, boucles obsessionnelles, samples déformés…. Le résultat, brut et cru(el), tendu et de pulsé, s’avère vite éprouvant et un peu trop binaire pour retenir l’attention.
|
|
Attendez un peu parce qu’il faut que j’enlève le sang séché de mes conduits auditifs… Ah, voilà, c’est mieux… Bon, alors moi je veux bien que le gars Rob n’ait pas eu beaucoup de temps ni de moyens mais quand même… Certes, on peut y voir un hommage à John Carpenter dans l’ouverture notamment, mais c’est quand même moche. Bah oui.
|