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On reconnait immédiatement les traits de cordes caractéristiques de JNH au sein d’une partition qui rappelle en particulier son travail sur The Emperor’s Club et surtout The Great Debaters. Un travail discret mais enveloppant, lyrique juste ce qu’il faut, qui traite son sujet avec sérieux mais manque trop de relief pour qu’on y revienne souvent. |
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Des lignes lentes et solennelles, quelques figures typiques de son style, une trompette un peu patriotique sur les bords, du suspense, le tout sans plus d’effusion qui n’est besoin : JNH est rarement aussi passionnant qu’un Williams dans ce registre et on peut se demander à quoi cela tient. Néanmoins, il connaît son métier sur le bout des doigts. |
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JNH nous entraine dans une spirale symphonique émouvante et solennelle, pleine de belles plages de cordes et utilisant son orchestre pour illustrer le combat de Lyndon Johnson avec une maitrise que je ne retrouve pas toujours chez lui. |
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Un petit James Newton Howard très agréable à écouter, assez discret. On y retrouve bien sûr ses habituelles belles cordes dans de chouettes mélodies dont lui seul a le secret. Rien d’inoubliable certes, mais ça permet tout de même une petite écoute paisible entre deux gros mastodontes orchestraux. |
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Drame politico-historique illustré avec beaucoup de gravité par un JNH à la tenue impeccable (coupée façon 90’s). Trompette et cordes solennelles sont au service d’un score émouvant, mais austère. L’album paraît longuet, d’autant que les thèmes semblent trop étirés. Ultra-classe, mais n’a pas l’ampleur ébouriffante d’un Thirteen Days. |