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Cordes flottantes, guitares palpitantes, synthés évanescents, voix éthérées : tout concourt ici à placer l’auditeur dans un état de semi-conscience, entre rêve et réalité, entre tradition et modernité, entre sensations et émotions, pour un voyage qui ne manque ni de séduction ni de mystère. Laissez-vous embarquer, vous ne le regretterez pas !  |
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Rien à faire : comme souvent chez Tykwer et Klimek, la partition présente des atouts formels séduisants mais, pour une raison que je ne saurais réellement expliquer, dégage en même temps le sentiment qu’elle n’est guère plus qu’un simple artifice, une jolie coquille vide en quelque sorte. Navré, vraiment…  |
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En voilà un beau score original. Austère de par son orchestration, mais aussi riche et rempli d’émotions. Ça voyez, j’appelle ça de la musique de film. Oui madame.  |
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La surprise du mois, ni plus ni moins. Cueillis par un thème direct qui titille la mémoire auditive, vous serez – du moins je l’espère – charmés par ces diverses ambiances à la fois voluptueuses et rythmées, évocatrices de la géographie de l’action et d’une sensibilité amenée par petites touches. Dépaysant mais concentré sur l’essentiel.  |
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Le début rappelle The Perfume. On y retrouve les mêmes chœurs enivrants mêlés de cordes serpentines. Le reste est d’excellente facture, mais ne revient que rarement sur cet aspect hypnotique : un mélange lumineux de guitares, de cordes et de percussions nous guide à travers un voyage musical qu’on arpentera à nouveau avec plaisir.  |