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Jaws est une de ces rares partitions qui distillent à chaque note l’évidence du génie de leur auteur sans pour autant se départir d’une apparente simplicité. La restauration proposée aujourd’hui par Intrada constitue le parfait écrin pour cette oeuvre unique, magique, terrifiante, épique et passionnante de bout en bout. Et un chef d’oeuvre, un !  |
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Une intuition à la fois simple et géniale, et derrière ça un modèle de construction, de mise en scène et de manipulation musicales du spectateur : une partition essentielle de l’histoire du cinéma, tout simplement, qu’Intrada nous sert ici avec une définition sonore (enfin) digne de ce nom.  |
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Mmm… Ça ne va pas être long. ACHETEZ-LE. C’est indispensable, merveilleux, superbe, fantastique, prenant, flippant, émouvant, enfin tout. TOUT ! Oui, je suis excité du bulbe, mais si vous ne l’êtes pas, c’est que vous êtes un sacré pisse-froid !  |
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Ne pas laisser traîner son oreille dans cet océan démentiel de notes, qui effraya quantité de spectateurs, est préférable, sous peine de se faire happer à tout jamais et sans retour possible par cette (i)ode au grand chasseur des fonds marins.  |
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Que dire ? Pierre angulaire des carrières de Williams comme de Spielberg, la partition est devenue un classique du cinéma de divertissement et du cinéma tout court. La restauration sonore est exemplaire et les inédits sont plus qu’appréciables (source music mise à part).  |