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Oui, le film est délicat et aérien, mais c’est aussi un des films de Steven Spielberg que j’aime le moins. Évidemment, la musique est parfaite, mais c’est un Williams qui ronronne un peu, voire, qui me fait ronfler par moment. Voilà, c’est dit. Traitez-moi donc de béotien.
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Un score lumineux et aérien ! Un score céleste, qui vous fera tutoyer les anges ! Rien que ça. C’est beau, c’est triste… mais c’est beau. Cette nouvelle édition vire les chansons, afin d’ajouter 9 minutes de score, dont le End Credits. L’album se clôt avec 23 minutes de versions alternatives qui prolongent agréablement cette belle aventure. Superbe !
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Williams allume et éteint le feu des émotions subtiles, entre intimité et nostalgie, en prenant soin de toujours laisser quelques braises. La remasterisation rend enfin justice à cette partition de haut vol dans un mariage réussi et peu souvent utilisé par le compositeur entre orchestre et électronique. But always Williams !
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Un score souvent considéré comme mineur (hérésie !) car assez diaphane une grande partie du film. Il trouve avec ce nouvel écrin une seconde jeunesse : le son bénéficie grandement de la restauration qui compense la faiblesse de l’édition initiale, d’autant que les inédits sont de qualité. Et ce cor virtuose qui nous élève l’esprit… Magique !
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Pas très objectif, j’adore ce film et sa B.O. envoûtante, atmosphérique et tout simplement belle. Un peu déçu de l’absence de Smoke Gets In Your Eyes, mais tout est très vite pardonné grâce au cadeau bonus : des variations, de nouveaux motifs, de nouveaux arrangements même ! Sublime et indispensable.
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