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Un album avec du vrai Carpenter dedans, ça ne se rate pas. Ça ne vaut pas ses grands classiques, mais on y retrouve sa patte inimitable, et c’est déjà bien mieux que tout les copieurs et autres wannabees qui tentent en vain d’émuler son style.  |
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Un album prévisible, inégal, inutile sans doute, mais ils sont tellement à s’en revendiquer à tort ou à raison que le seul plaisir (coupable, si vous insistez) de retrouver aujourd’hui un Carpenter au fond totalement fidèle à lui-même l’emporte.
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Je suis désolé de le dire, mais non, ce n’est pas du grand John. Oui ça lui ressemble, ça en a l’odeur et sur certains morceaux on y croirait presque, mais le reste n’est pas digne de ses compos les moins inspirées. Déçu je suis…  |
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C’était souvent la thématique des films qui donnait du sens à leur musique, et réciproquement : la symbiose était totale. Je ne sais pas si la musique a changé, mais à présent, il n’y a plus de film…  |
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J’adore Carpenter. Je vous jure ! Mais peut-être que c’est aussi une époque révolue aujourd’hui, et que ses musiques sont aussi géniales à cause de ses films. Alors une face B de Carpenter, très peu pour moi.  |
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Big John fume un joint avec ses potes en jouant à Castlevania. Régressif ? Merdique ? M’en fous. C’est l’album que j’ai le plus écouté, avec le Giacchino. Sourire jusque là et pied qui tape. Wow ! Déjà 3h du mat’ ?  |
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Sans avoir la saveur des originaux, puisque le temps a fait son œuvre sur ces riffs de synthétiseurs et ces atmosphères, on se délecte de retrouver ici ou là des échos de Big Trouble In Little China, Prince Of Darkness ou They Live. Nostalgie.  |