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Un score de thriller nerveux et enlevé… le temps du Main Titles. Après, on tombe dans une ambiance un peu terne, pas mal construite, mais teeeeeerne, loin des musiques habitées dont Frizzell est capable quand il en fait l’effort. |
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Ce que propose Frizzell est un suspense musical dominé par les cordes, un peu frustre sans doute mais qui charrie justement un genre d’énergie brute qui se révèle sacrément efficace par endroit. |
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Curieux mélange d’écriture moderne et old school, l’écoute de l’album fini par emporter. Frizzell prouve qu’il est encore de la partie avec cette composition plus qu’honnête, voire parfois carrément inspirée. Une bonne surprise, quoi. |
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Ah, si c’est pas malheureux de voir revenir John Frizzell (Alien Resurrection, tout de même !) par la petite porte pour ce remake opportuniste d’un « petit » thriller belge : du coup, c’est soigné mais convenu et pas folichon. |
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J’aime bien le petit Frizzellito. Sa musique est toujours sympa, il a un savoir-faire indéniable qui ressort à l’écoute de The Loft. Maintenant, il lui a toujours manqué le truc qui aurait fait de lui un petit génie. |
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Damned. Pas de monstre, ni de fantôme, ni de démon, ni de volcan. Frizzell est donc esseulé dans ce Loft vide, à part ce motif cordes-timbale. Préférez l’original de Wolfram de Marco, autrement plus haletant (et habité). |
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Passé un Main Titles assez vif et accrocheur, voici venir 45 minutes de pure ambiance, les morceaux s’évaporant les uns après les autres. Pas de tension, pas de suspens, pas d’enjeu dramatique. On s’y ennuie très vite. |