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Une musique aride et distante pour orchestre de chambre, à la prétention inversement proportionnelle. L’ennui s’installe dès la première note. Le second score, tout aussi répétitif, arrive un peu tard pour relever (à peine) le niveau. |
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Une figure centrale saisissante qui interpelle par la sonorité magnifique d’un quatuor de saxophones, mais l’accompagnement semble se satisfaire d’emblée d’une simple pose et tourne à vide le reste du temps. Le bonus est idéal pour courir le matin. |
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S’il est impossible de dire qu’il s’agit ici d’un album mal écrit, il reste un problème de taille, c’est l’utilisation du registre haut des vents et des cordes jusqu’à plus soif qui explose les tympans de l’auditeur. Difficile à écouter sans finir avec une céphalée. |
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Intello, prétentieux, dissonant, ultra répétitif et casse-bonbons, ce Mr. Turner est à fuir : pour sûr, ce n’est pas avec lui qu’il faut sortir le soir pour boire un coup ! |
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Bah voilà, c’est la musique biopic du mois. C’est joli, ça chiale, ça expose ses couleurs tout doucement, il y a tout ce qui faut. Sauf peut-être quelques touches d’originalité. Bref, un tableau bien banal. |
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Portrait psychologique un peu aride avec un unique thème trituré et des couleurs musicales inhabituelles. Un brin scolaire. La surprise est A Running Jump, percus-cuivres latino et piano-basse cocaïnés. Vraiment sympa ! |
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Avec une approche très simple, à travers laquelle on imagine sans mal le pinceau aller et venir sur la toile, Yershon passe toutefois à côté de l’aspect émotionnel d’un sujet en or. L’album est complété du score dynamique d’un moyen-métrage. |