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J’avoue, la note est très liée à l’impact de la musique sur le film. Gregson fait preuve d’un travail d’une intelligence admirable, et relaye très finement le travail de déconstruction glaçant du mythe de la chevalerie opéré implacablement par le (grand) film. Bref, une sorte de Kingdom Of Hell…
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Oyez, oyez, gentes dames et gentils damoiseaux, la ritournelle du troubadour Harry ! Cette année, la collaboration avec Ridley Scott s’étoffe avec deux films : celui-ci et House Of Gucci. Pour ce drame historique, HGW donne à sa musique une belle coloration médiévale, chants et chœurs à l’appui, tout en conservant une touche moderne. Sympa.
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Retrouvailles appréciables avec Ridley Scott après le fiasco Alien Covenant. Visiblement très inspiré, HGW peint son décor musical grâce un travail appliqué sur les voix, flanquées d’instruments « médiévaux » et de sons plus modernes (percussions, nappes). Le tableau est évocateur, oppressant et captivant.
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Se voulant ancré dans une temporalité médiévale, le score de HGW apparait bien austère, et même parfois carrément mortifiant d’ennui. Essentiellement confiée à des voix solos, empreinte de mysticisme religieux, la musique de Gregson sonne comme un chant Grégorien languissant. Dieu que le temps peut paraitre long parfois…
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HGW retrouve sir Ridley sur un drame en costumes… et il est visiblement très inspiré par le sujet ! Entre thèmes anciens, voix éthérées et orgues menaçants, il signe l’une de ses meilleures B.O., tout simplement. Du coup très envie d’entendre son travail pour House Of Gucci.
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