All The Money In The World (Daniel Pemberton)

UnderScorama • Publié le 15/01/2018 par

All The Money In The WorldALL THE MONEY IN THE WORLD (2017)
Compositeur : Daniel Pemberton
Éditeur : Sony Masterworks
Format : CD & Digital
Date de sortie : 12/12/2017

3.5 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Avec un minimalisme un brin élitiste, Pemberton se concentre avant tout sur la sécheresse des sonorités, choisies pour symboliser le détachement à la limite de l’inhumanité du personnage central. Bien pensé, malin (les pastiches de classiques), souvent original et toujours intéressant (les chœurs mortifères). Pemberton Président !
3.5 out of 5 stars
Florent Groult Suspense rythmique dont il est désormais coutumier (et qui n’est pas sans le rapprocher parfois de Marco Beltrami, non ?), pastiches de lyrisme italien et de chants sacrés médiévaux, ces choix singuliers et avant tout malins donnent surtout à Daniel Pemberton matière à prouver une fois encore qu’il peut se plier avec talent à bien des exercices.
3.5 out of 5 stars
Sébastien Faelens « Dites-moi, z’auriez pas le Pemberton nouveau des fois ?
– Ah si ! Z’allez voir, il va vous titiller le palais, il a un goût de banane y paraît. Et d’framboise aussi !
– Ah ben j’l’essaierai bien tiens ! »
4 out of 5 stars
Olivier Galliano Pemberton se lance sur un registre plus proche du thriller, le tout avec son style plutôt moderne. N’étant pas fan plus que ça de ses musiques, celle-ci m’a plutôt enchantée sans toutefois me laisser une trace indélébile. Il faut bien un début à tout.
2.5 out of 5 stars
Milio Latimier Pemberton retrouve Ridley Scott et continue à expérimenter, arpentant des chemins inattendus. Il s’inspire cette fois fortement de la musique d’opéra, donnant une couleur cruelle et ironique. Il y juxtapose en contraste une musique de suspense sombre toute en pulsations et en cordes tendues. Singulier et captivant.
4 out of 5 stars
Christophe Maniez Pemberton est un des compositeurs « récents » à mettre un point d’honneur à soigner son instrumentation. Ici encore, c’est le cas : mandoline, clavecin, accordéon et percussions exotiques sont discrètement disséminés au sein d’un orchestre conventionnel pour un résultat plus qu’honnête mais aussi trop déroutant (pour moi)…
3 out of 5 stars