Tulip Fever (Danny Elfman)

UnderScorama • Publié le 15/03/2017 par

Tulip FeverTULIP FEVER (2017)
Compositeur : Danny Elfman
Éditeur : Sony Classical
Format : CD & Digital
Date de sortie : 10/03/2017

4 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Une superbe évocation historique qui rappelle les grandes heures d’Elfman dans le genre, en particulier Sommersby. Le compositeur donne vie à des arrangements exquis et à une thématique d’un lyrisme à fleur de peau, et le final, très burtonien, est superbement émouvant. Probablement le travail le plus personnel d’Elfman depuis bien des années.
4.5 out of 5 stars
Florent Groult Sans tourner complètement le dos à ses habitudes actuelles, Elfman s’en revient plus ici vers les manières de certains de ses films en costume des années 90, preuve peut-être que le projet lui a plus particulièrement tapé dans l’oreille. En tout cas les mélodies et parfums sont entêtants, et le résultat a beaucoup de classe, de charme et d’élégance.
4 out of 5 stars
Pierre Braillon Un score de plus dans la veine intimiste incolore, un peu insipide, sans grandes nuances inaugurée par Big Fish. Je me demande parfois ce qui pousse encore Elfman à travailler autant. Soit composer est sa raison d’être, soit il a un sacré train de vie et les pensions alimentaires qui vont avec.
3 out of 5 stars
Baptiste Brylak Dès la première piste, on comprend ce qui nous attend. Elfman le rouquin fou va nous en mettre plein la tronche et nous faire pleurer. Et ça ne rate pas. C’est dans ce genre de composition que l’on réalise le grand talent de narrateur musical du monsieur. Vous reprendrez bien un peu de Spider-Man ?
4 out of 5 stars
Olivier Galliano L’Elfman récent n’est pas forcément à mon goût, mais ce petit score m’a plutôt enchanté. Difficile de dire pourquoi, c’est finalement très subjectif. Je vous remercie d’avoir lu mon avis qui ne vous aidera probablement pas.
3 out of 5 stars
Milio Latimier Ah, je comprends la tiédeur de l’autre Elfman du mois, il avait réservé toute sa passion pour celui-ci ! Il retrouve ici sont style pastoral chaleureux et sensible, d’un lyrique romantique sincère, avec des petites pointes de baroque et des idées percussives mordernistes. Les orchestrations dépouillées accentuent souvent l’émotion. Superbe !
4.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Voilà un Elfman qui fait plaisir à entendre : thématique (très) travaillée, instrumentation riche (mention spéciale aux bois et aux percussions), élégance orchestrale… Bien qu’on navigue parfois en terrain connu et balisé (les choeurs), il faut bien reconnaitre que le rouquin fou en a encore sous le pied ! Dommage que ça ne dure que 43 minutes…
4 out of 5 stars