|
Tyler bourrine avec entrain, mais Elfman tire à lui la super-couverture avec une écriture plus personnelle. On distingue sans mal la paternité de chaque pièce, mais l’ensemble forme cependant un tout harmonieux grâce à l’usage des thèmes des différentes franchises Marvel. |
|
Casting grand luxe mais coquille vide : Tyler et Elfman bourrinent dans leur coin, chacun à sa façon, et en bout de course seul le thème de Silvestri en sort (un peu) enrichi. On dira, faute de mieux, que l’ensemble est bêtement efficace. |
|
La coopération Elfman/Tyler n’est pas idiote et rend l’album plus gracieux. Bien évidemment, la subtilité d’Elfman est loin devant l’énergie de Tyler, du coup on regrette parfois de n’avoir pas eu le rouquin seul aux commandes. |
|
Un foutoir hollywoodien étrangement cohérent. Elfman écope de la portion congrue de l’album et, malgré cela, impressionne par son efficacité émotionnelle, remerciant Silvestri au passage, et laissant le bruyant Tyler surnager. |
|
Silvestri, en dépit d’un coup de frein mélodique, s’était tiré avec les honneurs du premier film, mais n’est pas reconduit. Boum-boum Tyler et Elfman se partagent donc le scoring, avec un petit avantage au second. Bourratif, mais encore digeste. |