Homme Qui Rétrécit (L’) (Alexandre Desplat)

UnderScorama • Publié le 15/11/2025 par

L’HOMME QUI RÉTRÉCIT (2025)
Compositeur : Alexandre Desplat
Éditeur : Milan Records
Format : CD & Digital
Date de sortie : 22/10/2025

3.5 out of 5 stars
Florent Groult Mise en scène musicale qui devrait sensément faire consensus : l’habile Desplat tisse sa Quatrième Dimension, surlignant avec douceur une certaine platitude quotidienne avant de la faire basculer, à l’appel d’un piccolo, vers une étrangeté introspective et des angoisses permettant d’astucieuses combinaisons instrumentales.
4.5 out of 5 stars
Franck Le Roux J’avoue que je suis resté assez hermétique à ce score, à l’instar de Frankenstein, alors même que les musiques sont bien différentes. Là aussi, il y a des morceaux captivants et/ou fun, mais sur la durée, mon intérêt s’effrite peu à peu, comme on dit en Belgique. Cela dit, avec des températures aussi basses, pas étonnant que l’homme rétrécisse…
3 out of 5 stars
Milio Latimier Partition un brin bizarroïde dans sa tonalité décalée mais qui ne manque pas d’originalité. La formation orchestrale modeste, accompagnée d’électronique étrange, titre avantage d’un large éventail d’instruments (percussions notamment). On suit avec curiosité, on s’interroge. Et puis on replonge…
3.5 out of 5 stars
David Lezeau Desplat initie un univers minimaliste, pour gagner en force avec la volonté et les peurs de son shrinking man. Le motif de la solitude est émouvant, mais on l’aurait aimé plus puissant. Desplat aime faire tinter le temps, miniaturiser les émotions : c’est dans le détail sonore qu’il faut chercher cet homme. Cet entomologiste ?
3.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Par instants, formation orchestrale réduite oblige, certains clins d’œil atmosphériques font penser à des scores de la série Twilight Zone. C’est peu mélodique, et quand ça l’est, c’est bien timide. C’est surement une volonté du réalisateur (je l’imagine bien dire : « Alexandre, on ne déconne pas avec le score, faut pas que ça s’entende, hein ! »).
2.5 out of 5 stars
Christophe Olivo Après les dinosaures et avant Frankenstein, Desplat s’arrête pour voir Dujardin rapetisser. Un score pour petite formation, qui utilise habillement l’électro. Quelque part entre Herrmann et Glass pour les boucles. Encore une fois, c’est du très bon et le score participe à la réussite du film.
4 out of 5 stars

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