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Il aura fallu 35 ans pour profiter pleinement d’une partition-charnière de la carrière de JNH, évoluant entre profane et sacré, d’accents pop-rock teenage de la fin des 80’s à une luminosité spirituelle, de synthétiseurs cliniques ou tranchants jusqu’au dénouement choral à la pureté émotionnelle dévastatrice. Indispensable.
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Pour les 35 ans du film, Intrada nous fait un beau cadeau, cette B.O. étant honteusement inédite. Howard a conçu une œuvre forte, dans laquelle il intègre des sons synthétiques à une partition interprétée par un orchestre symphonique. Il crée ainsi une ambiance captivante, étrange et sensible. Un score qui est loin de l’encéphalogramme plat !
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Avec une bardée de synthétiseurs, agrémentés par moments d’un orchestre et surtout de chœurs, JNH nous enfume dans du fantastique pop new age qui ne manque pas d’attrait. Le résultat a un côté série-B poétique assez fascinant. Idéal pour se replonger dans un trip emo-gothique adolescent !
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Qui a dit contraste ? La grandeur chorale, dont ces End Titles qui ont marqué les esprits, se mérite. Pour gagner le paradis il faut vaincre l’enfer des synthés et percus d’époque. Mais pour nous, les vieux diablotins, rien de fatal : ça peut même rajeunir. Tenterez-vous l’expérience ? Quand le vintage électro rencontre le mystique…
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Ce score sent bon la fin des années 80, avec des synthés en mode Rock-FM. Mais lorsque JNH laisse tomber les purs moments d’accompagnement « qui font peur » (en mode pas bien original) et que l’orchestre et les chœurs prennent le dessus, on peut pire que l’ensemble possède un certain charme désuet. Pour les fans du film et de JNH.
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C’est une belle journée pour écouter une arlésienne ! James Newton Howard bénéficiait pour la première fois d’un orchestre maousse et de chœurs. En y ajoutant des bidouillages électro, peut-être un peu trop sur la longueur, il obtient un fort joli score. Enfin entre nos oreilles !
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