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Un recours ponctuel aux instruments anciens et une reprise appropriée d’un chant gaélique écossais qui renvoient clairement à McCreary, mais pour le reste une triste choucroute sonore bourrative aux orchestrations trop souvent indistinctes et écrasantes, sans attrait un tant soit peu récréatif ni même un quelconque sens de l’épique.
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La duo glamour (rien que les photos de leur site ^_^ ) me donne l’impression de faire un peu (beaucoup ?) toujours la même chose. Alors oui, c’est globalement sympa et ça s’écoute avec parfois un certain intérêt, mais sans que l’on y entende de propositions vraiment excitantes. Allez, je retourne écouter Red Sonja… de Morricone.
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Est-ce foncièrement mauvais ou juste pénible ? Du clonage de clone électro-celtique ostinatuné, mix saturé, percus et chœurs presse-bouton. Si vous êtes jeune et branché Zimmer vous pourriez aimer, quant à moi j’ai noté l’hommage au motif funèbre préféré d’Horner… Dans ce monde industriel du comics filmé, ça ne fait pas de mal.
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Malgré un effort mélodique prégnant, et l’emploi d’un orchestre symphonique émaillé d’instruments ethniques, le tout sonne trop souvent sagement et peine à créer l’enthousiasme. On se prête à penser que la partition pourrait tout autant apparaitre dans un jeu video : atmosphères vaporeuses et vaguement inquiétantes mais sans réel éclat.
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On est là dans de l’orchestral médiéval, déjà visité par le duo pour The Witcher, et je dois avouer que je suis sensible à l’approche, avec ses chœurs et instruments exotiques. Je ne connais pas le film, mais à l’écoute seule ça passe vraiment bien.
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