 |
Giacchino est très à son aise lorsqu’il s’agit de combiner orchestre, chœur et électro pour un spectacle offrant thème central irrésistiblement entraînant. Esprit rétro, action et suspense solides, le tout évoquant ses Spider-Man, Incredibles, Speed Racer et surtout la luminosité positive de Tomorrowland.
 |
 |
J’ai adoré les travaux d’Ottman et Beltrami. Ici, l’aspect volontairement rétro-kitsch fait encore une fois des étincelles chez Giacchino. Il déploie une énergie joyeuse, juvénile, faussement naïve, revigorante et communicative. Tel un gamin, à la fin, je n’ai qu’une envie : repartir à l’aventure !
 |
 |
Cela faisait tout de même quelque temps que l’univers musical Marvel ne m’avait pas autant ravi. Alors oui, il y a des passages un peu étranges, qui prennent sûrement leur sens avec les images, mais cela ne gâte nullement l’ensemble. MG vient donc de cocher une nouvelle case sur sa liste de super-héros. Qui sera le prochain ? Super-Souris ?
 |
 |
Quand les FF reprennent aux Indestructibles ce qu’ils lui ont piqué, revoilà Giacchino. Outre des grosses scènes plus attendues, il joue avec les chœurs, claironne un thème jubilatoire avec effets rétro 70 (dont un beat limite disco) et des touches légères rafraîchissantes. Adieu Zim, nos héros tout en couleurs sont de retour !
 |
 |
Après une introduction volontairement kitschouille, l’emploi des chœurs prend de l’ampleur (Galactus) et le style aérien, emphatique et malicieux de Giacchino devient à nouveau plaisant, faute d’être jubilatoire comme antan.
 |
 |
Déjà coupable de The Incredibles et de Tomorrowland, Giacchino était le compositeur tout désigné pour cette nouvelle approche rétro-futuriste des Fantastic Four. Cependant rien ne nous avait préparés à cette formidable réussite. Peut-être la B.O. de l’année et sans conteste l’une des meilleurs de son auteur. Fantastic score.
 |