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Une intuition à la fois simple et géniale, et derrière ça un modèle de construction, de mise en scène et de manipulation musicales du spectateur : une partition essentielle. Le rendu sonore semble ici un peu plus clair et détaillé sur certaines pistes mais on attend une édition physique pour un jugement réel et fiable.
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À l’image de Superman, chacune des éditions de la béo de Jaws propose une amélioration sonore notable, grâce à de nouvelles sources et techniques. Il s’agit ici de la musique telle qu’enregistrée pour le film. La version album suivra, tout aussi essentielle. Il nous faudrait une plus grosse étagère…
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Je ne vais pas m’ébaubir 107 ans sur ce chef-d’œuvre de la musique de film. Cette sortie anniversaire reprend la tracklist de 2015 avec un son remastérisé. Super pour les jeunes béophiles et les complétistes ! Pour ma part, je vais continuer à me contenter de l’édition du 25éme anniversaire. À quand un remake avec une musique signée Junkie XL ?
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Qu’en dire ? Ce score a du mordant, j’en ai eu la mâchoire bloquée, c’est le Superman des grands blancs ! La mécanique de ces deux squales a été entièrement démontée, lubrifiée à la graisse de dauphin, fignolée : deux versions, une B.O. et (surtout, pour moi) un album immortels. Je vais avoir besoin d’une plus grande étagère…
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Un film remarquable, qui a changé à jamais la façon de faire du cinéma d’angoisse. Et Williams vient avec son petit motif de deux notes obsédantes en crescendo qui témoigne de la présence du requin. Un tour de force présenté dans une version dépoussiérée comme jamais, claire comme de l’eau.
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Il nous faudrait un meilleur compo. Mais c’est absolument impossible. Au revoir et adieu, jolies filles madrilè-neu…
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