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Quelques accents dramatiques parcourent nécessairement le dyptique bien évidemment mais, dans l’ensemble, David Shire concoctait là avec beaucoup de sensibilité une très jolie americana, à la fois douce et paisible, délicate et aérée. Un bien sincère plaisir pour les oreilles.
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Caldera continue d’explorer l’œuvre de David Shire, pour notre bonheur. Deux premiers opus d’une trilogie de drames en costumes pour la télé des années 1990, Shire expriment avec délicatesse et finesse à la fois le contexte historique et les émotions, tournées vers l’intime. Pudique et touchant.
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Voici deux scores pour des téléfilms, composés à une époque où la qualité musicale avait encore un sens. Bucolique, nostalgique, romantique et fraîche, la musique s’apprécie avec bonheur, tel un joli bouquet de fleurs printanières. Winter’s End, le troisième et dernier téléfilm aussi composé par Shire, est-il déjà prévu ?
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Le Kansas, fin 19ème. Ah, la (petite maison dans la) prairie et ses moutons moutonneux… Shire nous campe une très jolie Sarah americana, un western champêtre tout d’émotion retenue mais pas trop non plus. Sa suite à l’écran, Skylark, prolonge le récit en plus tristoune. À quand Winter’s End, le dernier volet de cette saga familiale ?
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Diptyque pour la téloche, début des années 90, avec un chouette casting. Musique bucolique et surannée – dans le bon sens du terme – pour ce double drame fermier, tiré à l’origine de bouquins pour les p’tits Ricains. Agréable.
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