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S’il s’attache avant tout à traduire action et élégiaque, Roget II a l’occasion de parsemer le mélange de petites touches bienvenues, accents rock, accords de guitares de road movie et jusqu’à une séquence concertante pour violon soliste. Pas de mélasse sonore ici mais des orchestrations aux cuivres saillants, incorporant électro et percussions japonaises.
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Si cette mini-série d’animation paraît assez moche, genre cinématique de jeu vidéo d’il y a 20 ans, la musique est heureusement plus intéressante. Les propositions musicales sont assez variées, les chants m’évoquant même certains travaux de Yoko Kanno. La partie orchestrale fonctionne bien, à l’inverse des parties électro qui plombent parfois l’ensemble.
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Vengeance ou pas ? L’action « robotépique » forcément fracassante est souvent bien écrite malgré l’inévitable remplissage transparent, les climats sont variés avec de très beaux moments plus classiques : au finale, ces mobile suits musicaux ont plus d’âme que les « humains » de cinématique du film.
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Si j’avais trouvé quelques atours charmants à son Lara Croft And The Temple Of Osiris, il n’y avait pas matière à s’en relever la nuit. Mais cette nouvelle mini-série Gundam présente quelques beaux et bons morceaux (souvent d’action martiale) assez bien charpentés (les synthés balourds se justifient visuellement). Pas ouf, mais agréable.
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Comme pour le récent Star Wars Outlaws, c’est finalement dans l’intimisme que le score est le plus intéressant, notamment avec un étonnant Violin Concerto. Pour le reste, c’est du martial assez bien troussé pour cette série au look de cinématique pour jeu vidéo (ce qui n’est pas un compliment).
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