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Caldera semble poursuivre avec bonheur ses exhumations du catalogue TV de Shire même si les découvertes tiennent plus de curiosités que de joyaux oubliés. Les deux premiers titres raviront les adeptes d’arrangements 70’s mais on regrette que le dernier, le plus joliment dramatique et sensible, soit celui qui souffre du moins bon rendu sonore.
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C’est le genre d’album que personne n’attend vraiment, mais qui fait pourtant un bien fou. David Shire compose pour la TV comme pour le cinéma, avec la même énergie et le même talent. A cette époque, la musique pour la télévision n’était pas une variable d’ajustement budgétaire, mais bien un élément important de l’œuvre. Merci Caldera !
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Grands espaces du petit écran, sentimentalisme flirtant ici ou là avec La Croisière s’amuse… En dépit de quelques cheveux gris, ce trio 100% TV mi-seventies porte bien son âge. Car le thème sportif est canon, Shire sait dramatiser avec un effectif réduit, brille dans la nuance, et maintes pépites sont à découvrir ici.
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Pour cette aventure familiale qui sent bon les années 70, Shire sort l’arsenal pastoral mâtiné de quelques accents seventies (basse électrique, guitare un peu folk) et, bien entendu, ça ne ressemble pas à du sound design (il y a des thèmes !).
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À ma gauche un road movie oublié, à ma droite un drame sportif. Au centre David Shire et une double B.O. un peu datée. Un peu de folk, un peu de soul, pas désagréable, pas inoubliable.
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