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Steve et Hans (quand il avait le temps seulement semble-t-il…) brodent autour des thèmes et chinoiseries habituelles sans véritable plus-value, guère stimulés par le nouveau méchant de l’histoire qui ne leur inspire que des accords patauds bien peu charismatiques. Du remplissage divertissant donc, mais déjà entendu et très oubliable.
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Depuis que Powell a quitté la jonque, la saga a musicalement pas mal perdu. Certains vomiront sur cette musique lorgnant souvent sur l’ambiance de restaurant asiatique, mais vous vous doutez bien que j’aime. Mazzaro (qui a fait le boulot pendant que Zimmy astique ses Oscars ?) joue clairement sur la facilité, mais bon, je suis un béophile faible.
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Le re-re-retour du Shaolin panda. L’orientalisme, le punch et le décalage humoristique fonctionnent toujours, certes dans la redite. L’usure se fait sentir mais c’est fun : on peut préférer cette collaboration mazzaro-zimmerienne aux recherches sonores quelque peu stériles de ce dernier.
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Bon, c’est indéniable, Mazzaro n’est pas Powell. Mais il allège un peu les déflagrations pachydermiques de notre Hans. On retrouve, par bribes, le fameux thème de Po accompagné de son cortège d’instruments asiatiques et de chœurs qui ne s’en laissent pas compter. Néanmoins, c’est dans le vieux Po qu’on trouvera la meilleure soupe.
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Amusant. Un score orchestral teinté bien évidemment de sonorités chinoises. Ça a le mérite de ne pas être trop long et jamais ennuyeux. On se demande quelle est la part du travail de Zimmer là-dedans, tant ça ne ressemble absolument pas à son style. En fin de parcours, Jack Black défonce tout, one more time !
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