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Composition pour piano et orchestre assortie de quelques accents folk (fiddle, guitares) : les mélodies sont chaleureuses, un peu sirupeuses mais néanmoins lumineuses, tandis que la sensibilité familiale et l’emphase volontaire et engagée sont bien là. Pas de quoi jouer dans la cour des grandes partitions pour biopics sportifs, mais Zanelli s’en sort.
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Score pastoral americana tout joli, avec piano, cordes, guitare acoustique, bois, violon rustique. C’est doux, caressant, sensible mais aussi sans trop de relief, relativement anonyme et surtout… un peu ennuyeux. Pourtant, l’effort de Zanelli est à saluer.
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Du drame, du sport et du dépassement de soi, pour une belle Amérique triomphante où le courage est récompensé ! De nombreux compositeurs se sont frottés (sans être des frotteurs pour autant) au genre, souvent avec succès. Ici, Zanelli suit les codes attendus et nous pond un score gentillet, qui fleure bon l’émotion, la sueur… et l’oubli rapide.
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Dans la série base-ball, je demande Ricky Hill. Zanelli a dû compulser son vieil album Panini « americana sports » avant de frapper la balle : l’Amérique, la famille, les moments mystiques, la victoire sur l’adversité… Tout y est, et bien joué, malgré le peu d’action au sens strict. Pile dans les règles, Zanelli mérite sa place sur le podium.
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Une histoire vraie sur fond de baseball et de courage. Pas mal du tout le travail de Zanelli ! Sans surprise mais totalement dans le style qui convient pour ce genre de production. Courage, effort, americana. Un score un peu à l’ancienne, ce qui ne gâche rien.
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