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Était-il à ce point nécessaire de faire chanter aussi niaisement les protagonistes et de massacrer la chanson-titre de la série ? Pour le reste, le job est plutôt agréablement assuré tout au long d’une partition joliment arrangée, même si le discours musical apparaît vite très scolaire et sans grand éclat. Gros potentiel mais petit score à l’arrivée.
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J’en reste coi. Si les chansons ne sont pas pour moi (voix et paroles qui m’agacent), leurs mélodies nourrissent une partition d’aventure symphonique chatoyante, vivante, colorée, généreuse en émotion et dont le rendu sonore acoustique « naturel » fait un bien fou… jusqu’au frisson. Bravo !!!
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Le producteur, scénariste et réalisateur ayant déjà beaucoup composé pour la série Miraculous, il est logique de le retrouver comme compositeur sur son film. Le score interprété par le London Philharmonic Orchestra est de belle tenue et apporte ce que l’on peut attendre pour ce genre de film. Quant aux chansons, elles sont insupportables.
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D’abord, j’ai zappé sur les songz in french (pas pour mézigue), puis zigzagué entre les ziques de Zag. Impersonnel mais très bien fait, sans surcharges (clarté de l’orchestre), avec les références (Elfman, fatalement) et trucs excitants attendus (Rollercoasters!). Que dire, alors ? Que c’est de la musique de producteur ?
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Les chansons (en français) relèvent trop de la comédie musicale pour enfants à mon goût. En revanche, les parties orchestrales (avec de vrais instruments !) sont plutôt bien conçues, dynamiques avec des reprises des mélodies issues des chansons, des chœurs, des bois et une quantité limitée de « made in Zimmer ». C’est un miracle.
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Ô mais elle a bien des soucis cette petite coccinelle ! Les enfants ont enfin leur super-héroïne, et Jeremy Zag en est le papa, à tous les niveaux : créateur, producteur, réalisateur, et compositeur donc. C’est mignon, très classique, bien fait quoiqu’un peu bourratif. A noter que la chanson titre est carrément un décalque d’un titre d’Izia Higelin…
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