What’s Eating Gilbert Grape (Alan Parker & Bjorn Isfalt)

UnderScorama • Publié le 15/06/2023 par

WHAT’S EATING GILBERT GRAPE (1993)
Compositeurs : Alan Parker & Bjorn Isfalt
Éditeur : La-La Land Records
Format : CD
Date de sortie : 05/05/2023

3 out of 5 stars
Florent Groult Piano, guitare et synthés pour un programme en forme de paisible respiration, soutien musical à la fois simple et sincère pour la chronique de Lasse Hallström. Cette parution n’en demeure pas moins très anecdotique, répétitive, et réservée avant tout aux aficionados du film.
3 out of 5 stars
Milio Latimier Curiosité éditoriale, la musique intimiste (piano, guitare, synthés) ne manque pas de sensibilité, notamment en empruntant un accent folk (ce qui m’a parfois rappelé Poledouris). Les sonorités électroniques très datées années 1990 rebuteront certains. La source des pistes d’Isflat semble avoir souffert.
2.5 out of 5 stars
Franck Le Roux A la première écoute, je n’ai entendu que la sinistrose et la dépression. Lors des écoutes suivantes, j’y ai décelé une certaine forme d’optimisme… de celle qui permet de ne pas perdre pied devant les affres de la vie. Ce score, qui fait la part belle au piano, n’est évidemment pas le genre de B.O. que je réécouterai un jour.
3 out of 5 stars
David Lezeau Dix ans après s’être fait les dents sur Jaws 3-D, Parker (re)compose à partir du travail d’Isfalt cette solide B.O. riche en guitare et ballades americana, digne d’un Knopfler. Les plaines sans fin de l’Iowa s’étalent devant nous, répétitives par nature, apaisantes. Le score rejeté, au son plus roots, complète habilement l’album.
3.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Voilà un score planant et mélancolique, parsemé de « feel good », inoffensif mais agréable, dominé par le piano, la guitare acoustique et quelques touches synthétiques, qui s’écoute sans trop de pépins. Une sorte de James Horner minimaliste qui fait parfois naitre l’émotion, mais sans l’inspiration du maestro.
3 out of 5 stars
Christophe Olivo Le côté folk de ce joli film fait penser au James Newton Howard de l’époque, les parties au piano rappellent plus le regretté compositeur George Winston, qui vient juste de nous quitter. L’ensemble est doux et mélancolique, mais un peu répétitif. Jolie promenade musicale.
3.5 out of 5 stars