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Conclusion musicale de la série par Britell, toujours sur la même esthétique, un exercice de style mêlant pièces classiques diverses réarrangées et écriture moderne. D’une efficacité redoutable, le résultat est toujours aussi classe, peignant les penchants humains les plus vils avec préciosité.
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On poursuit dans le même esprit et comme j’ai décroché à partir de l’album de la deuxième saison… Le travail de Britell reste cohérent et l’on y retrouve d’intéressantes variations sur le thème principal. Par contre, j’ai l’impression que tout cela finit par tourner un peu en rond. Heureusement, les albums ne sont jamais bien longs.
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Les Succession se succèdent, toujours dans le même esprit fausse compil classique emballée de papier glacé. C’est raffiné, mais à défaut d’aller quelque part – série oblige ? – ça ne passionne guère. Britell semble s’ennuyer, et s’il faut bien gagner sa croûte, on préférerait l’entendre sur des projets plus créatifs.
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Pour cette saison 4, Britell se succède à lui-même. Il garde son idée de base : pastiches appliqués ou joueurs de thèmes classiques réarrangés à sa façon, souvent pour petit ensemble, avec une touche d’électro pas trop envahissante. Et ça continue de fonctionner, sans crier au génie.
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Magnifique conclusion musicale pour Britell, plus ça va, plus j’aime ! Terriblement lyrique, complètement classique avec de temps en temps des sursauts de modernité, notamment dans les rythmes. Totalement conquis par son travail sur cette série.
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