DIX JOURS ENCORE SANS MAMAN (2023)Compositeur : Guillaume Roussel
Éditeur : 440 Hz
Format : Digital
Date de sortie : 14/04/2023
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Mise en valeur des guitares et du jeu soliste de certains bois, développements facétieux teintés de romance rythmés avec une agréable légèreté, un chouia groovy même par instant : musique de comédie sympathique donc mais sans grande prétention, ce qui ne l’empêche pas aussi d’être mille fois plus satisfaisante que son récent Mousquetaires…  |
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Roussel délaisse le style RC pour de la comédie orchestrale-pop avec tout l’attirail classique avec guitares (acoustique, basse électrique), cordes pincées, clochettes… Seule la section cuivre paraît synthétique. C’est peut-être dû à une thématique transparente mais le charme n’a pas complètement opéré sur moi. |
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Après Harry Allouche sur le premier film, c’est donc Guillaume Roussel qui s’est chargé de mettre en musique la suite de ce remake d’un film argentin. Je retrouve le compositeur que j’aime, très loin de celui qui a accouché du l’insipide et décevant score des Trois Mousquetaires. Une musique légère et tendre qui vous met du sourire dans les oreilles. |
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Sans maman, ok, mais dix secondes sans pizzicati, c’eut été encore mieux. Nul doute que ce déroulé sautillant remplit son office derrière les mimiques de Franck Dubosc, et cette production n’en demandait sans doute pas plus, mais on imagine bien les paupières lourdes de Roussel en pleine compo automatique. |
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Mettre en musique une comédie, c’est toujours casse-gueule. Il faut savoir en faire assez sans en faire trop. Mais Roussel s’y connait vraiment dans ce domaine. Bien sûr qu’il y a tout l’attirail attendu (cordes en pizzicato, lounge music, tendresse, ostinati pour faire rigolo). Mais moi, quand on met du triangle, je suis aux anges. |
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Après la déception des Trois Mousquetaires, voici le retour du Guillaume Roussel qu’on aime ! Certes pour une comédie lambda, mais ce n’est pas grave… On retrouve le style du compositeur et ses jolies mélodies bien fignolées. Et il en faut de l’inspiration pour illustrer ça… |
