Black Panther: Wakanda Forever (Ludwig Göransson)

UnderScorama • Publié le 15/12/2022 par

BLACK PANTHER: WAKANDA FOREVER (2022)
Compositeur : Ludwig Göransson
Éditeur : Hollywood Records
Format : Digital
Date de sortie : 11/11/2022

3.5 out of 5 stars
Florent Groult Göransson semble s’être avant tout confectionné un album world perso pour voix solistes, chœur, électro et orchestre. La recherche musico-ethnique entre Afrique et Mexique est intéressante mais on s’ennuie néanmoins poliment, le compositeur échouant à gérer les divers éléments et sensibilités en un tout signifiant.
2.5 out of 5 stars
Franck Le Roux J’avoue n’avoir guère de souvenirs de la B.O. du premier (mauvais) film. Prenez des percussions et des chants traditionnels, hop, on est en Afrique. Göransson, en mélangeant plein de choses diverses (il y a même des feulements très Manimal), arrive à créer un univers sonore cohérent, même si parfois proche de l’image d’Épinal.
4 out of 5 stars
Milio Latimier Ayant adoré le score du premier film, j’attendais vivement cette suite. Douche froide. Göransson continue ses recherches sonores (vocales et percussives : bien, l’électronique et vents abrasifs : bof). Mais la trame thématique et sa charge émotionnelle calent, les anciens thèmes sont rares et les nouveaux peu marquants.
2.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Encore plus tournée vers la tambouille électro-symphonico-ethnique, la musique s’oriente aussi davantage vers l’utilisation des voix. Parfois au détriment de la narration musicale. Reste une tribu de morceaux génériques, voire carrément inintéressants, à peine compensés par une instrumentation de circonstance.
2.5 out of 5 stars
David Lezeau Fascinant retour au Wakanda. Là où Blanchard avait échoué (The Woman King), quel plaisir d’entendre Göransson jouer avec les voix, boucles électro et percussions, mijoter une sorte d’Afrique noire musicale universelle mêlant tradition et modernité, sans craindre l’étrangeté voire la laideur, tout en répondant aux besoins d’une bourrinade Marvel !
4 out of 5 stars
Christophe Olivo Göransson n’a rien perdu de sa verve pour cet opus 2. Bien au contraire ! Le ton est donné dès les premiers morceaux : rythmes africains, rythmes modernes façon Creed, thèmes intimistes soignés, et grandes envolées orchestrales avec chœurs puissants. Avec un côté sauvage typiquement « wakandé ». Très sympa à écouter.
4 out of 5 stars